Partenaires au Japon

Association culturelle Hôkô-an, à Kyoto

En 2015, Association Hôkô-an a été créée à Kyoto dans le pays du Soleil Levant pour promouvoir la transmission de la culture traditionnelle à travers la découverte de l'univers de la culture traditionnelle japonaise, notamment de la cérémonie du thé, appelé chanoyu. Elle intervient des ateliers et des conférences autour du l'art traditionnel japonais en partenariat avec des établissement culturels situés à Kyoto. Chanoyu est un art traditionnel inspiré en partie par le bouddhisme zen dans lequel le thé vert en poudre (matcha) est préparé de manière formelle et est servi à un petit groupe d'invités dans un cadre calme. Au XVIème siècle, le célèbre Maître de thé, Sen no Rikyû, établit définitivement les règles de cette cérémonie. Ses enseignements conduisent au développement de nouvelles formes d'architecture et de jardin, d'arts et mène au développement complet de l'art japonais. « Harmonie, respect, pureté, et tranquillité » sont les principes que les pratiquants de la voie du thé en s'efforçant d' intégrer à leur vie quotidienne.


Association de la conservation des téchiniques traditionnelles de la fabrications des peignes en bambou du Japon

Autrefois au Japon, le peigne en bambou était l'un des outils japonais traditionnels du métier à tisser pour fabriquer le tissu de kimono. Au fur et à mesure de l'évolution industrielle , il a été remplacé par un peigne en métal. C'est pourquoi, depuis 2003, afin que ce trésor artisanal ne disparaisse pas, cette association  a commencé un projet de conservation de ces techniques traditionnelles. Association Talachiné introduise ses peignes en bambou aux Français, notamment dans le domaine du textile, en présentant la démonstration de tissage, ainsi que en recherchant  les grands valeurs de ce patrimoine avec des tisserands volontaires.

 

Preservation of Traditional Japanese Techniques of Manufacturing Bamboo Comb Association

In ancient Japan, a kimono was woven with bamboo combs. These were used as a traditional Japanese weaving tool. Accordingly as the Japanese adapted their production to western industrial methods, they replaced the traditional bamboo with metal. Consequently there are very few artisans remaining with knowledge of this treasured traditional technique since 2003. However, since that time this association has started a project to preserve the traditional technique of making bamboo combs. 

Talachiné Association introduce their products in French, through weaving demonstration, and also reserching on the valeur of this heritage with voluntary weavers.


Institut de recherche de la production textile de soie, à Nagono

L’Institut de recherche de la production textile de soie est fondé en 2003 à Iijima dans le département de Nagano, une ancienne région d’élevage du vers à soie dans le centre du Japon. Son objectif principal est la recherche et la conservation des techniques  traditionnelles fondamentales de la production des tissus en soie à travers les quatre orientations spécifiques suivants : 1. Culture et gestion du domaine des mûriers biologiques sans utilisation d’engrais chimiques ni d'herbicides. 2. Sériciculture notamment des espèces de vers indigènes du Japon au printemps et en automne qui sont élevés avec  des feuilles de mûriers récoltées sur son domaine. 3. Fabrication des tissus et tout spécialement du kimono en soie avec les fibres dévidés de ses propres cocons biologiques. 4. Recherche des techniques fondamentales  de la production textile de soie d’avant l'ère Edo dans la production des tissus en soie pour le kimono, de la fabrication des fils au tissage. La soie de cet institut est également utilisée pour la restauration du patrimoine textile en soie du Japon.

 

Silk Textile Productions Research Institute at Nagano

The Silk Textile Production Research Institute is based Iijima in 2003 in Nagano Prefecture, a former sericulture region in central Japan. Its main objective is the research and conservation of the fundamental traditional techniques of silk textile productions of  through the following four specific directions: 1. Culture and management of organic mulberry fields without use of chemical fertilizers and herbicides. 2. Sericulture including indigenous species to Japan in spring and autumn are high with mulberry leaves harvested from the field. 3. Silk fabric productions, especially the kimono, spinning the silk of own biological cocoons. 4. Research of the basic manufacturing techniques of silk textile production for kimonos before the Edo era. The Silk Institute is also used for the restoration of the silk textile heritage in Japan.


Atelier des laques japonais Daitetsu, à Wajima dans la préfecture d'Ishikawa

La laque est obtenue à partir de la sève laiteuse récoltée sur l’arbre à laque (Toxicodendron vernicifluum). Depuis des siècles, au Japon, elle est traditionnellement utilisée dans la fabrication d’objets laqués.  Exposée à l’oxygène, cette laque acquiert une durée de vie de plus de deux cents ans.  Comme cette sève est très toxique tant qu’elle n’est pas sèche, la fabrication et l’utilisation de cette laque ont longtemps été réservées à des artisans spécialisés et hautement qualifiés.

L'atelier des laques japonais Daitetsu est fondé en 1860 à Wajima, l'une des célèbres régions de la laque, dans le nord-ouest de l'île du Japon. Afin de fabriquer des laques de première qualité, il conserve les techniques traditionnelles de raffinage de la laque en utilisant la laque brute produite dans la région d'Iwate dans le Nord-Est du Japon. Dans l'atelier Daitetsu, on remue et affine la laque brute sous la chaleur directe du soleil d'été pour produire la laque noire bien que le processus soit complexe.  Aujourd’hui, au pays du Soleil Levant, il n’y a plus qu’un seul artisan, l'atelier Daitetsu, qui perpétue cette ancienne technique japonaise de fabrication de la laque noire.

 

Daitetsu Lacquer House in Wajima, Ishikawa prefecture

Lacquer is a milky sap tapped from the lacquer tree. It traditionally has been used by making lacquerware in Japan since early centuries. By taking in oxygen, lacquerware extends its life span for more than two hundred years. As the substance is poisonous to the touch until it dries, the creation of lacquerware has long been practiced only by skilled dedicated artisans. Lacquer House Daitetsu was founded in 1860 at Wajima, one of the most famous region of lacquerware, in the north west of mainland Japan. In order to create lacquerware of high quality, they retain the traditional technique of refining lacquer using raw lacquer produced in Iwate prefecture of North-East of Japan. In Lacquer House Daitetsu, they stir and refine the raw lacquer in the direct heat of the summer sun and produce black lacquer in spite of  arduous process. At present, Daitetsu is the sole artisan of this traditional Japanese method of producing black lacquer in Japan. 

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